Une tige de bois est fixée au centre de ce tambour à une mmbrane. La friction de la tige avec un linge humide ou les doigts mouillés du musicien produit un son. On modifie la hauteur du son par une pression sur la membrane avec l’autre main. Instrument d’origine africaine.
Les deux bâtons entrechoqués, maintiennent le rythme de base, articulé sur deux mesures, appelé la clave. On tient un des bâtons dans une main de manière à ce que les doigts courbés et la paume forment un résonateur et on le frappe avec le second.
Caisse de bois utilisée pour la musique noire du Pérou et pour scander le yambù (genre de rumba havanaise lente).
Instrument d’origine africaine constitué de deux cloches à battant externe en fer forgé reliées et accordées généralement à la quarte.
Le musicien tient la cloche d’une main et la frappe avec une tige métallique de l’autre main. Il combine un jeu sur les deux hauteurs de son avec des effets d’étouffement en posant le grand élément sur sa cuisse.
1 - Courge couverte d’un filet de sonnailles (graines de flamboyant ou cauris) 2 - vannerie, fond en calbasse et graines à l’intérieur.
Tambours sacrés joués en trio lors des cérémonies de la santeria (culte des orisha). L’ensemble des trois instruments de taille différente compose un système mélodique de six notes qui associé à la richesse rythmique permet de développer une forme de langage et de communication imitée du Yoruba. A chaque orisha (divinités Yoruba), sont associés des ruthmes et des chants utilisés pour les invocations donnant lieu à des transes de possession.
Les musiciens tiennet le tamborim d’une main et le frappent à l’aide d’une baguette de l’autre en exécutant un jeu de question réponse au sein de la batucada.
Porté à la taille par une ceinture, il est joué avec une baguette d’une main, l’autre main servant à étouffer les sons. C’est l’un des instruments fondamentaux dans la batucada : il pose généralement toutes les questions auxquelles répond l’orchestre.
Doudouba, Sambang, kenkeni Instrument joué en trio, il structure la musique et la danse dans l’orchestre des djembé. Une danse malinké porte le nom de doumdouba.
Le surdo correspond au tom-basse de la batterie. Il donne la pulsation par un mouvement syncopé. Il est joué avec la technique d’étouffement des sons à l’aide d’une main.