Tambour des musiciens professionnels mandingues. Il est destiné à faire danser. Frappé à mains nues, sa sonorité est très puissante.

Tambour joué par paire.

N’goma est un terme générique qui désigne les tambours chez les populations de langue bantoue.

Ce tambour d’origine Proche-Orientale est l’un des instruments essentiels de l’orchestre classique. Il a pour rôle de maintenir la cohésion rythmique de l’ensemble.

Tambours joués par paire, constitués d’un cadre en poterie et d’une peau lacée et chevillée. Ils sont attribués aux yoruba, ethnie du Sud-Ouest du Nigéria.

Instrument sacré et secret, réservé aux rites d’initiation. Une tige de bois est fixée au centre de ce tambour à une membrane. La friction de la tige par les doigts humides du musicien produit un son étrange qui sollicite l’attention.

Instrument de prédilection de la musique classique persane. A l’origine instrument d’accompagnement, le zarb, par son évolution au XXe siècle, est devenu un instrument de soliste.

Flûte de pan jouée par paire par les populations quecha et aymara des régions des Andes. On les intègre à des ensembles comportant plusieurs paires de flûtes et de tambours.

Le ney signifie roseau en persan et définit une flûte qui rayonne dans tout l’Orient.

Instrument touareg, la sarewa est constituée d’une tige de sorgho consolidée par des ligatures de cuir.